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Accueil / Informations sur le moustique / Les risques liés au moustique pour la santé
Le moustique est l’animal le plus meurtrier pour l’homme avec plus de 830 000 victimes par an(1). Il tue plus d’humains en 24h que le requin en 100 ans.
Le moustique est présent dans le monde entier et chaque être humain est une cible potentielle à ses yeux. Adulte, enfant, personne agée…il n’a que l’embarras du choix et sa piqûre, initialement inoffensive, peut devenir mortelle
Une infographie parue sur le blog de Bill Gates recense le nombre d’humains tués par des animaux en 2015, classé par animal tueur.
Sans surprise, le moustique arrive en tête avec 830 000 décès.
En comparaison, la même année, le requin n’a fait que 6 victimes humaines, le scorpion 3 500 et le serpent 60 000. La deuxième position du classement est occupée par l’homme lui-même qui a causé la mort de 580 000 autres humains.
En 2018, l’auteur publie une nouvelle infographie au titre on ne peut plus accrocheur pour alerter sur les dangers de l’insecte :
Le moustique tue plus de personnes en un jour que le requin n’en a tué au cours de ces 100 dernières années.
En effet, d’après l’OMS et Global Shark Attack File, le requin a fait 1 035 victimes entre 1916 et 2016 alors que le moustique est responsable de la mort de 1 470 personnes chaque jour(2).
En plus d’être le plus meurtrier, le moustique est l’animal qui transmet le plus de maladies sur la planète.
D’après l’Organisation Mondiale de la Santé, le paludisme représente à lui seul 219 millions de cas rien qu’en 2017 et a entrainé pour la même année plus de 435 000 décès. Le tout transmis par le moustique.Près de la moitié de la population mondiale est exposée et, comme pour toute épidémie, les personnes les plus vulnérables (enfants, femmes enceintes, personnes âgées…) sont les plus touchées. Les enfants de moins de 5 ans représentent à eux seuls 70% des décès(3).
Près de la moitié de la population mondiale est exposée aux maladies liées au moustique
Mais le paludisme n’est pas la seule maladie transmise par le moustique et le nombre de victimes est en réalité bien plus grand.
La dengue a notamment progressé de manière spectaculaire au cours de ces dernières décennies. Cette maladie mortelle, également transmise par le moustique, ne dispose pas de traitement spécifique et sévit dans les régions tropicales et subtropicales du monde entier.
Le paludisme représente à lui seul 219 millions de cas rien qu’en 2017
Cependant, le moustique ne s’arrête pas là ! Qu’il s’agisse du moustique commun ou de son apparenté le moustique tigre, il peut également transmettre à l’humain d’autres maladies graves et mortelles comme le chikungunya, zyka, la fièvre jaune, la fièvre du Nil occidental…
Lorsque l’on parle des maladies vectorielles transmises par le moustique, on focalise surtout sur les victimes humaines mais, en fait, l’animal aussi est touché par les épidémies.
La prévention doit donc se faire aussi pour les animaux de compagnie et le bétail.
L’animal aussi est touché par les épidémies
Avec la moitié de la population mondiale exposée aux différentes maladies vectorielles liées au moustique, il est essentiel de développer des stratégies de prévention adaptées à chaque zone du monde.
En France Metropolitaine par exemple, on ne compte que quelques cas isolés mais le ministère de la santé publie pourtant un document détaillant le mécanisme de propagation des virus et le moyen de se protéger et de protéger les autres.
Il est essentiel de développer des stratégies de prévention adaptées à chaque zone du monde
Sur les continents les plus touchés (Asie, Afrique, Amérique du Sud) le moustique provoque de véritables hécatombes et la stratégie de lutte contre le moustique est un enjeu de taille. Des campagnes de prévention à grande échelle sont mises en place par l’OMS et certaines ONG pour :
La démoustication par insecticide est source de polémique
Cette dernière fait généralement polémique car bien qu’efficaces les insecticides sont à utiliser avec grande précaution. Tous les pesticides sont toxiques, que ce soit pour l’homme ou l’environnement et leur utilisation fait l’objet de consignes très strictes.
Depuis 2017, l’approche de l’OMS s’intensifie en faisant de la lutte antivectorielle une priorité. Méthodes novatrices, ambition de développement durable : on ne se contente plus de moustiquaires et d’insecticide.
L’appel pour une approche plus cohérente et plus holistique de la lutte antivectorielle ne minimise en rien les avancées considérables réalisées individuellement dans la lutte contre les maladies à transmission vectorielle.
La problématique de lutte anti vectorielle est en réalité double : maitriser le vecteur de maladies et protéger l’humain et l’environnement
La solution Qista est imparable sur ces 2 points :
1. En réduisant considérablement la population de moustiques dans les lieux habités, on empêche la transmission de maladies vectorielles
2. En utilisant un procédé totalement naturel et non toxique, on n’impacte ni l’humain ni la biodiversité
Une étude scientifique indépendante a démontré une chute de 91,2 à 10,2 piqûres par heure.
Soit 88% de nuisances en moins.
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